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    les démons guaranis

     

    Père Nelson, raconte nous une histoire:

    Nelson parle 5 langues couramment comme l’anglais (il a vécu aux Etats-Unis et à Londres), le castillan (et on s’est bien amélioré avec lui) ou encore le Guaraní, toutes deux langues officielles du pays et enseignées dès la petite école. Il nous initiera ainsi à sa langue et ses sons nasaux et gutturaux… franchement imprononçable pour nous européens ! "Aguyje che anguiru" (merci mon ami !). Nous découvrons ainsi au travers des quelques histoires qu’il nous contera une partie de la culture Guaraní : leurs légendes, leurs mythes et leurs monstres !

     

     

     

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  • Le chipa Guazu de Carmencita (Paraguay)

     

     

    Ce coup-ci, c’est dans la cuisine de Carmencita à Asuncion que nous nous sommes invités. Une adresse à ne manquer… Avec son sourire et sa bonne humeur légendaire, cette marmiton hors pairs nous a fait découvrir un des accompagnements des plus réputé de la cuisine familiale du Paraguay le chipa guazu : un gratin à base de maïs doux et fromage. On retrouve souvent une part copieuse de cet entremet pour accompagner asado de bœuf, chorizo et manioc : un repas bien nourrissant et « rico, rico ».

     

     

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  • tag sur architecture coloniale, joli rendu!

     

     

    San Jeronimo :

                    Nous passons à l’office de tourisme récupérer un plan de la ville et y rencontrons Rafael, un jeune français en vacances pour quelques semaines dans le coin. Nous le suivons pour la journée et c’est comme ça que nous nous retrouvons dans le quartier populaire de San Jeronimo. Un quartier haut en couleur constitué de toutes petites ruelles dont les maisons sont extrêmement colorées.

     

     

     

     

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    passage de la frontière bolivie argentine, à Bermejo

     

     

     

    On nous avait prévenu : depuis Tarija, aller au Paraguay en passant par Bermejo en Argentine, c’est plus cher et beaucoup plus long que par Villamontes, mais c’est moins dangereux… et en effet c’est vrai. Voilà comment ça s’est passé.

     

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  • drapeau du PARAGUAY

     

    Capitale : Asunción

     Langue officielle : le guarani et le castillan (espagnol). Le Paraguay est l’un des rares pays d’Amérique latine où la langue indienne est reconnue depuis longtemps : elle est la langue nationale depuis 1967, et la langue co-officielle depuis 1992. Depuis 1994, un plan national d’éducation vise à enseigner les deux langues à tous les Paraguayens.

     Monnaie : le Guaraní paraguayen

     Politique : république présidentielle. Pays membre du Mercosur avec l’Argentine, le Brésil et l’Uruguay.

     

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  • peinture murale isla del sol 

     

     

     

    La Bolivie a été pour nous une super surprise. Ne connaissant absolument pas le pays  avant d’arriver, nous n’avions aucunes attentes particulières. Pourtant c’est ici que nous avons été le plus surpris par la variété de paysages et de couleurs sur une distance relativement faible. Encore une fois dès que l’on sort des lieux les plus touristiques, on retrouve le sourire et la gentillesse de la population locale qui peut contraster avec l’impression d’être  pris pour un portefeuille ambulant dans certaines places trop touristiques.

     

     

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    Drapeau officiel de La Bolivie

     

    Capitale : La Paz (capitale la plus élevée au monde : 3600m d’altitude), capitale constitutionnelle : Sucre

     

    Langue officielle : l’espagnol, le quechua et l’aymara. La constitution bolivienne de 2009 reconnaît en fait 37 langues officielles…liée à la grande diversité ethnique du pays.

     

     Monnaie : le boliviano

     

    Politique : république parlementaire. Président Evo Morales, depuis janvier 2006 (réélu en 2009 et 2014 pour 5 ans)

      

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    art de rue Tarija 

     

     

     

     

     

    Se déplacer en Bolivie… c’est toute une histoire !

                     Au départ d’Uyuni, le plan était de prendre un premier bus direct pour Villazón, ville située sur la frontière avec l’Argentine dans l’extrême sud Bolivien. D’arriver là-bas aux alentours de 4h du matin puis à 9h prendre un autre bus direct pour Tarija. Comme tout sera fermé à Villazón et que les rues de Bolivie ne sont pas forcément des plus chaudes et des plus sûres en pleine nuit, les chauffeurs proposent par habitude à leurs passagers d’attendre 6h du matin dans le bus jusqu’à ce que la station ouvre ses portes. Nous choisissons de payer un peu plus cher notre billet pour voyager en bus touristique, c’est-à-dire un bus couchette avec le chauffage et un chauffeur qui n’a pas le droit de boire au volant.

     

     

     

     

     

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    laguna honda

     

     

    Les 2 jours suivant, nous nous enfonçons toujours plus vers le Sud Jusqu’à frôler la frontière avec le Chili, à juste une heure de San Pedro de Atacama.

     

    La región du Sud Lipez est beaucoup moins inhospitalière que celle du salar. Il exise pas loin de 190 espèces de plantes et arbres qui évoluent dans cette région aux conditions de vie extrêmes. Les espèces se sont adaptées aux conditions d’extrême salinité des sols, au manque d’eau douce, aux températures basses et à la rareté de nutriments.

     

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  • Qu'Est-ce quoi donc?

              le mot du jour: la bombilla

     

                   Lors de notre voyage en Bolivie, nous avons côtoyé des voyageurs venant d'Argentine qui nous ont fait découvrir la bombilla. Mais voilà qu'au Paraguay, nous la retrouvons également... avez-vous des idées? qu'Est-ce quoi donc?

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    le Salar d'Uyuni            

     

                 C’est tôt le matin que nous atteignons Uyuni. Il fait vraiment très froid. Première objectif : récupérer nos sac en soute et trouver un café où l’on puisse se réchauffer. Il faut préciser qu’il est 6h du matin, que le bus n’avait pas de chauffage et qu’il fait entre -15 et -20°c. Petit problème le chauffeur n’arrive pas à ouvrir les soutes : elles ont complètement gelées. Quelqu’un aurait-il une grosse envie d’uriner ? Personne ? Bon ben on va attendre que ça dégèle… Nous en profitons pour discuter un peu avec notre voisin de bus francophone, Laurence, un étudiant en médecine d’origine québécoise. Il compte aussi partir à la découverte du Salar aujourd’hui, nous ferons donc équipe pour les quelques jours à venir.   Après quelques dizaines de minutes, nous finissons par réussir à forcer la porte. A nous les sacs, a nous le café !!!

     

     

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  • Le lac Titicaca terre de légende

     

                    La Bolivie, pays qui s’honore de porter le nom de son « libertador » Simon Bolivar, a vécu une bonne partie de son histoire dans l’ombre de son célèbre voisin : le Pérou. Les indiens Aymaras, qui peuplaient les hauts-plateaux, avaient ainsi été soumis à l’autorité des Quechuas et contraints de parler leur langue. Mais il n’en a pas été toujours ainsi. Au cours des trois millénaires précédant l’arrivée de Pizarro et de ses conquistadors, la région du lac Titicaca avait connu son heure de gloire avec la civilisation Tiahuanaco, une des plus brillantes de l’Amérique indienne.

     

     

     

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    rocoto relleno (sorte de poivrons farcis)

     

     

    Carla nous la répété plusieurs fois lors de notre séjour à Lima:

    "el rocoto relleno es muy rico!".

     

    En effet, ce commentaire ce suffit à lui même, le rocoto farci  (une sorte de poivron rouge picant des Andes) c'est vraiment délicieux !!!

     

     

     

     

     

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  •  Chicha morada Péruvienne (recette de Chad)              L’ingrédient principal de la Chicha morada est le maïs pourpre cultivé et consommé dans les Andes depuis plus de 2500 ans. Très peu d’aliments sont naturellement pigmentés en violet foncé, ceux qui le sont cependant sont chargés en phytonutriments et antioxydants, spécifiquement anthocyane.

                   Le maïs pourpre est une excellente source de vitamines C et E et contient des quantités massives de composés phénoliques et d'anthocyane (famille des polyphénols) qui ont également l'activité antioxydante élevée. Les anthocyanes sont un type de flavonoïde complexe qui produit les couleurs bleues, violettes ou rouges dans les aliments. Ils sont anti-inflammatoires, anti- vieillissement, favorisent la formation de collagène, améliorent la circulation sanguine et réduisent le taux de cholestérol. Ils peuvent également contribuer à stabiliser et protéger les capillaires et les vaisseaux sanguins de dommages des radicaux libres.

     

                    Le maïs pourpre est un antioxydant plus puissant que celui de la myrtille, donc buvez-en sans modération !

     

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  • décoration en roseaux typique des iles uros, dans notre hotel 

     

     

     

                   Le 24 Juillet au soir, nous prenons un taxi du centre-ville de Cuzco vers la gare routière. Après une bonne dizaine d’heure de trajet, nous traversons enfin la frontière entre le Pérou et la Bolivie en direction de Copacabana. Le nom de cette ville ne vous est sans doute pas inconnu : il évoque l’exotisme d’un cocktail plutôt coloré ou l’évasion d’une plage et de ces cocotiers… mais tout ça n’a rien de Bolivien. Copacabana viendrait de la langue aymara, et signifierait « observer le lac ». En fait c’est la petite bourgade Bolivienne de Copacabana qui a donné son nom à la célèbre plage brésilienne, cherchez le rapport ? Plus que toute autre cité du pays, la ville exprime le métissage spirituel de la Bolivie, où les cultures locales ont résisté aux assauts successifs de la colonisation, de la mondialisation et du tourisme de masse.

     

     

     

     

     

     

     

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    Notre résumé du Pérou

     

    Nous avons trouvé au Pérou des paysages exceptionnels et une multitude d’anciennes cultures toutes aussi surprenantes les unes que les autres. Ce pays a une histoire encore pleine de mystère, qui n’a pas encore révélé tous les secrets et toutes les réponses à ses énigmes : esprits explorateurs et aventuriers, cette destination vous comblera. Ne manquez pas la visite des marchés hautement imprégnés de couleurs locales, et testez les spécialités culinaires dans les comedors pour découvrir une cuisine familiale qui vous réservera bien des surprises et ravira tous les palais.

     

     

     

     

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  • Le Machu Picchu

     

     

     

                Les incas avaient perché si haut dans les nuages le village du Machu Picchu, qu’il ne put être trouvé par les conquistadors et fut ainsi épargné de pillages et destruction. A notre plus grande surprise, il nous faudra plus de 6h de minibus sur des routes vertigineuses et pas loin de 4h de marche pour s’approcher de la célébrissime cité. Pour un site qui reçoit 2500 visiteurs par jours, c’est plutôt surprenant de voir que l’accès y est si compliqué.

     

     

     

     

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  • Cuzco

                   Après une dizaine d’heure de bus nous atteignons la citée sacrée. Nous partageons un taxi avec 2 autres français pour nous rendre dans  le centre historique de Cuzco. Il nous dépose sur la place des armes. Comme à Arequipa, cette place possède un charme tout particulier. Elle est entourée d’arcades et de maisons coloniales aux balcons en bois sculptés. Deux gros édifices religieux en pierre viennent agrémenter le décor. La ville est très animée et plusieurs écoles et corps militaires défilent.

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  •               Début de la remontée

                  Le dernier jours, nous nous levons donc tôt et démarrons la marche aux alentours de 5h. La distance à parcourir est plutôt courte, de l’ordre de 5km, par contre les 1300 mètres de dénivelé ne sont pas négligeables à cette altitude pour une ci-courte distance. C’est donc sous un superbe ciel étoilé et armées de lampes frontales que nous démarrons la remontée.

      

    Au bout d’une heure d’ascension, les ânes nous rattrapent. On est plutôt content d’avoir choisi la version pédestre, la balade montée semblant plutôt vertigineuse par endroit. Le sentier est étroit, et les mules se dandinent de gauche à droite, nous rasons les murs lors de leur passage, se faisant parfois écraser contre la paroi, mais c’est toujours mieux qu’un plongeon dans le vide.

     

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  • Découverte de la vie dans le canyon de Colca

     

                     Aujourd’hui, c’est l’anniversaire de Perrine… Première surprise, au petit déjeuner, les guides  ont cuisiné des crêpes au dulce de leche pour tout le monde… Miammmm. Après l’heure du réconfort, c’est l’heure de l’effort. Le programme de la journée constitue la partie la plus simple du trek. Nous devons suivre une piste qui borde le canyon sur 8 km, et traverser 2 petits villages : Cosnirhua et Malata. L’accès à ces villages peut se faire par véhicules motorisés, mais c’est à vos risques et périls… la « route »  étroite et chaotique de poussière et de gravier se situe à flan de roche. Sans rambarde de sécurité, le moindre dérapage serait fatal. Qu’est-ce qu’on est bien à pied !

     

     

     

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  • Le canyon de Colca

     

     

                   3h30, le réveil sonne et semble comme une agression pour nos oreilles. Il faut se lever, un minibus vient nous chercher à 4h au pied de notre hôtel. Yann n’est pas très en forme ce matin, il n’a pratiquement pas fermé l’œil de la nuit et a un peu de fièvre. 4h50 : le mini-bus arrive enfin. Yann décide de ne pas se laisser abattre : nous partons pour plus de 6 heures de routes à travers les hautes montagnes péruviennes et passons un col à 4900m d’altitude. Pendant le trajet, l’état de santé de Yann ne s’améliore pas. Dans le doute d’un « soroche » (mal des montagnes) on lui propose de chiquer une dizaine de feuilles de coca pendant 20 minutes, puis de garder la pâte obtenue contre ses gencives une bonne heure.

     

     

     

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  • Au détour du marché de San Pedro à Cuzco, nous faisons cette étrange rencontre ...

    Qu'est-ce quoi donc ? et à quoi que ça sert ?

    Qu'est-ce quoi donc ? What's that?


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    Arequipa la blanche

     

     

                  Le 12 Juillet au soir, nous nous décidons à quitter Edgardo et la petite famille de couchsurfers installée dans son havre de paix. Nous arrivons à la gare routière d’Arequipa tôt le matin et y  rencontrons Ronaldo, un brésilien d’une cinquantaine d’année qui cherche lui aussi à se rendre en ville. Nous lui proposons de partager un taxi. Quelques minutes plus tard nous foulons le pavé du centre historique d’Arequipa et partons à la recherche d’une auberge pour la nuit suivante.

     

     

     

     

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