Le Chili et l’Argentine sont deux destinations dont la culture se rapproche beaucoup de l’Europe au niveau culturel (merci la colonisation…), mais les amoureux de grands espaces et de faune et de flore ne seront pas déçus...

                Le Chili est un coup de cœur. Les paysages sont variés et magnifiques et la cordillère des Andes ajoute une touche montagnarde au tableau. Mais qui dit cordillère dit plaques tectoniques et donc potentiel tremblement de terre. Notre première rencontre avec cette démonstration de forces telluriques était plutôt impressionnante. Tout c’est bien terminé, on en rigole maintenant, mais quand la terre s’est mise à trembler, nous nous sommes sentis bien insignifiant et impuissant en comparaison avec les forces qui entraient en jeu.

                Côté culinaire, on n’a pas était déçu non plus. On mange bien et les empanadas sont en générale trois fois plus grosse que celles d’Argentine. Les carnivores se réjouiront de retrouver de bons vieux asados…

Ce que l’on a préféré :

• Valparaiso et ses façades colorées, mais aussi ses lions de mer.

• Notre séjour sur l’ile de Pâques

Ce que l’on n’a pas aimé :

• Les prix qui commencent à s’envoler

• Santiago

Nos dépenses pour 2 personnes, 18 jours :

• Logements, déplacements terrestres, nourritures et autres                                                        583,18€

• Avion (île de Pacques)                                                                                                                              1100€

• Visa                                                                                                                                                                     0€

Total 1683,18€

• Soit 46,75 € par jours et par personnes avec l’avion pour l’île de Pâques.

• Soit 16,19 € par jours et par personnes sans avion.

Remarque :

               Nous ne faisons plus de couchsurfing car d’autres voyageurs se sont joints à nous pour la fin du voyage. Nous voyageons sur un mode un peu moins économique que d’habitude, ce qui explique l’augmentation notable de nos dépenses.