• photo prise lors de la manisfestation pour la paix à Cuzco

     

     

     

     

                   Le lendemain, Chad veut nous amener sur la colline San Cristobal qui donne un joli point de vue sur la ville de Lima. Nous montons donc dans un collectivo en direction du centre-ville et décidons de nous arrêter pour acheter nos billets de bus pour Nazca notre prochaine étape du voyage. Alors que nous marchons dans les rues de Lima en direction du terminal de bus, accompagnés de Chad, deux hommes nous sautent dessus. J’ai à peine le temps d’esquiver l’assaut en faisant un pas en avant pour les éviter que je vois les 2 hommes qui ont saisi Perrine et Chad.

     

     

     

      

     

     

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  • lima (san cristobal)

     

                    Le lendemain de notre arrivée c’est le week-end, nous le passons à nous balader dans les rues de Lima à découvrir le vieux quartier historique. Cathédrale, place des armes et palais présidentiel, pont de pierre tout est passé en revue. En plus de la brume, la ville est très grise, il y a peu d’espaces verts, heureusement quelques bâtiments de couleurs se détachent du reste et égaillent un peu la visite. La place des français avec ses murs rouges et son église bleue n’a rien à voir avec l’architecture du pays : il parait que c’est un cadeau fait par la France au Pérou pour fêter leur indépendance, cocorico ! Nous découvrons au détour d’un parc les anciens murs d’enceinte de la ville. De nouveaux bâtiments ont été construits par-dessus sans vraiment se soucier de la cité antique. La grande colline san cristobal arborant une croix constitue l’arrière-plan de la ville, sur ces flans, une multitude de maisonnettes colorées bleu jaunes roses vertes... Il s’agit en réalité des quartiers populaires (pour ne pas dire des bidonvilles de la ville) qui abritent 8 millions d’habitants. Pour une ville de 10 millions d’habitants, ce chiffre résume bien les conditions de vie des gens qui s’entassent dans ses quartiers.

     

     

     

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  • Papas a la huancaína

     

     

                     Huancayo est une charmante ville dans la montagne Péruvienne qui a donnée naissance à un des plats traditionnel de la gastronomie du Pérou : les fameuses et délicieuses « papas a la huancaína ». Durant la construction de la voie ferrée du centre du Pérou au départ de huancayo, les ouvriers du chemin de fer se nourrissaient avec un plat de patates rôties avec une délicieuse crème que les habitants de la ville vendaient dans la station, qui depuis fut nommé « papas a la huancaína”.

     

     

     

     

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  • el dorado               L'Eldorado, le pays de l'or, a longuement fait rêver les Européens, au XVIe siècle, lorsqu'ils ont mené de nombreuses expéditions en Amérique du Sud, avec l'espoir d'y localiser ce pays dont le prince se faisait saupoudrer d'or de la tête aux pieds chaque matin.

                   Parmi les différentes vagues d'exploration et de pillage du continent sud-américain, c'est en 1532 que Francisco Pizarro défait les Incas au Pérou en capturant leur roi Atahualpa et en massacrant jusqu'à 20 000 des personnes qui l'accompagnaient dans le piège que le conquistador avait tendu. Le roi prisonnier fait alors livrer aux Espagnols de très grandes quantités d'or et d'argent en échange d'une libération qu'il n'obtiendra jamais puisqu'il sera étranglé dans sa prison en 1533.

                   Le Pérou offrait une réserve immense de richesses telles que l'or, l'argent, le plomb ou encore les pierres précieuses. Les colons espagnols asservirent alors les indiens qu'ils considéraient comme de la main d'œuvre bon marché et sans importance pour exploiter les mines à leur place. Petit à petit, les réserves s'amenuisèrent jusqu'à ne plus laisser que quelques paillettes d'or dans les ruisseaux. C’est de ce passé colonial pas très glorieux qu’est née l’expression "ce n'est pas le Pérou", pour figurer qu'un gain n'est pas énorme, en référence à cette époque où le pays était un véritable eldorado.

                  Dans notre cas, ce n’est pas la conquête de l’or qui nous fait partir pour le Pérou, mais plutôt la culture andine et une fascination pour les vieilles pierres (ses montagnes, ses vallées sacrées, ses murs et allées pavées…) dont le Macchu Pichu est un bon exemple.

     

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    drapeau du Pérou

     Capitale : Lima

     Langue officielle : l’espagnol est parlé par quasiment toute la population, à part dans quelques endroits des Andes ou de la Selva où les autochtones ne parlent que le quechua, l’aymara ou des dialectes de la forêt. Beaucoup de Péruviens sont polyglottes : 1/3 de la population parle quechua et les zones frontalières avec la Bolivie utilisent l’aymara une langue qu’ils ont en commun.

      Monnaie : nouveau sol

     Politique : République

     Drapeau :

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  • Notre résumé de la Nouvelle-Zélande

                    Nous avons souvent entendu dire que l’île du Sud est nettement plus belle que celle du Nord. Au vu de notre expérience de voyage dans l’île du Nord, l’île du Sud doit être sacrément belle, parce que l’île du nord est déjà pour nous une perle dans le Pacifique. Les paysages y sont variés et impressionnants : plages de sable noir à l’ouest, falaises et plage de sable blanc à l’Est, bassin géothermique au centre et des volcans actifs un peu partout. Cet avant-goût donne vraiment envie de revenir et pousser l’exploration un peu plus dans le Sud. D’ailleurs juste rencontrer Leanne, Dave et le reste de la famille vaut déjà amplement le déplacement. Pour les fans de la trilogie du « Seigneur des anneaux », la Nouvelle-Zélande est un « must see » et certains voyagent sur ces 2 îles uniquement sur le thème des lieux de tournage des films. Questions paysages, vous serez assurément servis… Peter Jackson a du goût.

     

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    Petit déjeuner dans le vanPour la fin de notre escapade dans le Coromandel nous continuons vers le Nord, mais il commence à faire sombre et il nous faut trouver un lieu où passer la nuit. Depuis 2 semaines, notre maison ressemble à ça. Ce n’est pas vraiment  spacieux et il fait un peu frais la nuit mais disons que l’essentiel y est ! Le problème c’est qu’excepté dans des zones spécifiques délimitées et signalisées, le camping sauvage est interdit. L’autre ennui c’est que dans le Coromandel, la réglementation est plus stricte et les zones où l’on peut s’installer gratuitement sont toutes réservées aux véhicules dits « self-contained », c’est-à-dire qui récupèrent leurs eau usées et ont leur propre toilette. Curieusement ces zones sont toujours à côté de toilettes publiques. Notre petit van vert ne fait pas partie de ces véhicules-là, la réglementation voudrait donc que l’on se rapproche des campings et paye environ 30 $ pour être autorisé à dormir dans notre van. Toute infraction à la règle étant passible d’une amende de 200 $, nous nous mettons en quête d’un endroit où passer légalement la nuit.

     

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    la tête à l'envers ?!?

     

     

     

     

     

    Nous avons entendu parler d’Onemana beach dans un office de tourisme. Il n’y a rien à y faire mais la plage est superbe paraît-il. Ce lieu est un peu plus au nord et nous avions de toute façon prévu de passer pas trop loin. Nous faisons donc un petit détour par cette plage.

     Juste en arrivant, nous réalisons quelque chose d’étrange qui n’a rien à voir avec la suite de l’histoire. Regardez cette photo : examinez les branches et les aiguilles du sapin… rien de choquant ?

     Elles vont vers le haut ! Ça doit donc vouloir dire qu’en France on est à l’endroit et ici, à l’opposé du globe, on a la tête en bas !!! J J J 

     

     

     

     

     

     

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    Karangahake           D’après les gens qui y habitent, le Coromandel est la plus jolie partie de l’île du nord. Difficile de dire si c’est vrai, mais effectivement c’est pas vilain. L’activité volcanique à l’Est de l’île il y a10 millions d’années donna naissance à une grande péninsule, barrière montagneuse qui protège Hauraki golf du Pacifique. Tout au long de ces côtes s’offre une nature exceptionnelle où contraste le bleu de l’océan et les falaises et les plages de sable blanc. Le décor est bien différent de la côte ouest de l’île, rappelez-vous piha et ses plages de sable noir… La tradition orale raconte que les explorateurs maoris mythiques auraient abordés la péninsule à bord de la pirogue Arawa, précédant ainsi les premiers colons. En 1769, James Cook s’arrête à Mercury Bay pour des observations astronomiques, ses rapports parlent de sa fascination pour les forêts de la péninsule. C’est d’ailleurs ce bois qui motivera l’expédition en 1820 du bateau Coromandel, mandaté par les britanniques pour récupérer le bois nécessaire à la construction de voiliers. L’arrivée des pionniers et l’abbatage massif des arbres marqueront donc le 18ème siècle, mais c’est la découverte de l’or en 1867 qui sera à l’origine du plus grand bouleversement avec le début de l’ère industrielle.

     

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    Te Waihou river :

    Rivière Te Waihou

     

     

     

     

                Alors que nous roulons vers le nord, nous passons pas très loin de deux autres lieux où furent tournées quelques scènes du seigneur des anneaux. Nous décidons donc nous aussi de prendre quelques clichés le long de Te Waihou. Cette rivière d’eau turquoise serpente dans le splendide décor du plateau central de l’île du nord. La source de cette rivière est appelée Blue Spring. L’eau met entre 50 et 100 ans à remontrer des roches poreuses souterraines. Elle est ainsi filtrée, et à sa sortie, sa pureté lui confère une couleur turquoise impressionnante. Cette rivière fournie d’ailleurs 70 % de l’eau en bouteille de Nouvelle-Zélande. Sa température est de 11°c constamment, été comme hiver. Nous n’envisageons donc pas de nous baigner dans celle-ci. Nous remontons le cours d’eau sur 3,5km pour en observer la source. Lièvres, oiseaux et moutons suivent notre parcours le long des prairies avoisinantes.

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Perrine devant le Mont Ruapehu

     

     

     

    De l’autre côté du lac de Taupo, à une quarantaine de kilomètre au sud, se trouve la ville de Turangi, celle-ci est une des portes d’entrée pour le parc national du Tongariro. Ce dernier est célèbre pour avoir été le lieu de tournage de plusieurs scènes du seigneur des anneaux, la célèbre trilogie inspirée des livres de Tolkien. Peter Jackson, le réalisateur du film, a mis en valeur les paysages de son pays en tournant des scènes du film dans les superbes décors naturels que l’île nord et l’île sud de la Nouvelle-Zélande lui fournissaient.

     

     

     

     

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    Lac Taupo et Mont Tongariro en arrière plan La ville de Taupo est notre étape suivante. Elle doit son nom au lac volcanique autour duquel elle s’est développée. Le lac occupe en réalité l’immense cratère laissé par une explosion volcanique gigantesque il y a 26 500 ans, qui a laissée derrière elle 200 m de cendre recouvrant le centre de l’île nord. C’est la plus violente des éruptions volcanique qu’est connue notre planète au cours des 70 000 dernières années. Depuis, 27 éruptions ont eus lieu dans ce cratère dont la plus significative en 186 avant J.C. avait été remarquée par les romains : Les fumées et cendres rejetées très haut dans l’atmosphère laissées percevoir un ciel « rouge sang ». Ainsi apparu le lac, bien avant toute présence humaine.

     

     

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  • wai o tapu (piscine de champagne)

     

     

                 Ce parc géothermal est un incontournable dans la région. Nulle part ailleurs vous n’aurez l’occasion de voir une telle variété de lacs, cavités et cratères formés par l’acidité souterraine, bains bouillonnants et terraces de silices avec des couleurs aussi étonnantes.  La couleur de l’eau et des roches qu’elle infiltre provient des composants chimiques véhicule. En effet, l’eau issue des profondeurs de notre Terre est si chaude qu’elle sépare, absorbe, puis concentre les éléments minéraux des roches traversées lors de sa remontée vers la surface. Le contact avec l’oxygène de l’air révèle alors certaines couleurs : jaune (soufre), orange (antimoine), blanc (silice), vert (arsenic), rouge-brun (oxyde de fer), noir (soufre et carbone), violet (manganèse).

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    parc géothermique de rotorua: la ville de soufre

     

     

    Alors que nous approchons le centre-ville de Rotorua, notre attention est attirée par d’étranges fumées qui sortent du sol, des bouches d’égout, de sources d’eau chaude. Au fur et à mesure que nous nous approchons du parc Kuirau, une odeur d’œuf plus très frais envahit notre mini-van… Nous voilà arrivé au cœur d’une zone volcanique en pleine activité comme en témoignent les nombreuses manifestations géothermiques des environs, qui ont valu à la ville son surnom de «  la ville de soufre ».

     

     

     

     

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  •  Waitakere range

     

     

     

    Les chaînes de Waitakere : ces reliefs sont apparues il y a 20 millions d’années suite à une éruption volcanique sous-marine. Une chaine montagneuse fut ainsi formée, et les quelques sommets qui pointaient en surface donnèrent des îles. Les remaniements opérés par les éléments naturels (la pluie, le vent et la mer) ont par la suite participé à modeler des paysages très particuliers de cette partie de la Nouvelle-Zélande.

     

     

     

     

     

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    Si certaines villes se sont bâties à l’ombre d’un volcan, Auckland elle s’est construite sur une aire comprenant 52 montagnes de feu, qui ne sont pas toute éteintes (la dernière éruption a eu lieu il y a 600 ans « Rangito »). 100km sous nos pied, un réservoir de magma attend son heure pour faire surface… une nouvelle bulle de lave en fusion formerait ainsi un nouveau volcan : bienvenus sur la ceinture de feu du Pacifique. Rassurez-vous, cela n’est arrivé que 19 fois en 20 000 ans.

    Mont Eden (Auckland)

     

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  • Nous avons croisé le chemin de ces chicots et Yann a bien failli y laisser un mollet...

    A qui que c'est les quenottes ?

     Whose that teeth belong?

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  • survol de la barrière de corail (Nouméa)

     

                    Le 2 Juin, nous nous levons de bonne heure pour notre départ du caillou. Il est 4h30, nos bagages sont pliés, et nos déjeunés avalés. Le soleil ne s’est même pas donné la peine de se lever pour nous faire ses adieux, mais Etienne a assuré pour lui ! Il s’est levé pour nous dire au revoir tandis que Sophie nous emmènera à l’aéroport. L’avion est à l’heure et avant midi nous atterrirons en Nouvelle-Zélande. Notre avion survole le grand lagon et la barrière de corail qui entoure la Nouvelle-Calédonie : la vue a quelque chose de magique… Après quelques heures de vol, et quelques secousses, nous arrivons en terre Maori.

     

     

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  • New Zealand Fisherman's Basket Chowder à la façon de Dave

     

                    Lors de notre séjour à Auckland, Dave et Leanne nous font agréablement découvrir une partie de leur culture gastronomique: le chaudron de fruits de mers. A peine sortis du train qui nous a amené chez lui, Dave nous amène chez un poissonnier pour acheter des moules vertes Néo-Zélandaises: on n'en a jamais vu d'aussi grosses (même les moules espagnoles sont rachitiques à côté)!

     

                     Essayez sans plus tarder cette recette... un vrai délice! 

     

     

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    drapeau de la nouvelle-zélandeCapitale: Wellington

    Langue officielle: l’anglais et le maori

    Monnaie: le dollar néo-zélandais

    Politique: démocratie parlementaire. La Nouvelle Zélande est aujourd'hui une nation indépendante au sein du Commonwealth britannique. Le monarque britannique, bien que chef d'Etat constitutionnel, ne joue aucun rôle actif dans l’administration de la Nouvelle Zélande.

    Drapeau de la Nouvelle-Zélande : le drapeau officiel néo-zélandais est bleu foncé avec l’Union Jack (drapeau du Royaume-Uni) en haut à gauche, car le pays est un ancien dominion anglais. Les 4 étoiles rouges représentent la Croix du Sud, constellation visible uniquement de l’hémisphère Sud. Ce drapeau a remplacé l’Union Jack en 1902. Les derniers sondages font apparaître une légère majorité de la population en faveur d’un changement de drapeau. En effet, un certain nombre de personnes ne se reconnaissent plus dans cet emblème, symbole du lien avec la Grande-Bretagne.

     

     

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    Notre résumé de la Nouvelle-Calédonie

     

     

     

     

    Malgré une histoire sulfureuse, et toujours pas terminée en ce qui concerne la question de l’indépendance, la Nouvelle-Calédonie reste une terre d’accueil où il fait bon de vivre. Les kanaks possèdent une très forte identité culturelle qui contrairement aux aborigènes d’Australie sait encore se faire entendre et est extrêmement présente. La « coutume », très importante dans le lien et l’échange social kanak représente une marque de respect et de savoir-vivre qui régit et hiérarchise les interactions entre les individus.

     

    Le simple « Bonjour » est ici capital. Tout le monde se dit bonjour dans la rue, en voiture, aux courses, dans la brousse… En voiture c’est pareil, la courtoisie est de mise. Il est donc facile de rentrer en contact avec les gens.

     

     

     

     

     

     

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    sortie bateau au phare Amédée

     

    Sortie au phare d’Amédée :

     

     

    Le 23 mai, la météo semble clémente, nous embarquons au petit matin sur le bateau d’Etienne pour nous rendre sur l’îlot d’Amédée situé à une quarantaine de minutes de Nouméa. Hugo n’a pas l’air très rassuré, mais nous arrivons quand même à le faire sortir de la cabine pour compter les bateaux et repérer les tortues. Le voilà qui prend ces aises et se retrouve aux commandes du navire : « terre en vue moussaillons! »

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Centre culturel Tjibaou

     

     

     

     

     

     

    Le centre Tjibaou a été créé pour promouvoir la culture kanake sur le territoire et accueillir différents spectacles et expositions pour faire découvrir cette civilisation et transmettre ses coutumes aux plus jeunes.  Le passé était le temps de la colonisation, le présent celui du partage, et l’avenir celui d’un destin commun : tels sont les objectifs actuels que la Nouvelle-Calédonie s’est donné.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    (Pour 6 personnes / préparation et cuisson 2h)

     

    Salade tahitienne (Nouvelle-Calédonie)

     

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  •         Bernadette et Yann après la coutume

     

              Dans ce coin un peu plus reculé de la Nouvelle-Calédonie, certains kanaks vivent en tribu et accueillent des voyageurs pour vivre une inoubliable expérience avec eux. Nous nous rendons dans la tribu de Wérap chez Bernadette. Elle et sa famille vivent au fond d’une vallée à une dizaine de kilomètre de Hienghène. Lorsque nous atteignons la tribu, Bernadette est assise devant une case, derrière elle des femmes de différentes générations sont en train de confectionner les murs d’une petite salle en tressant des feuilles de cocotier. L’ambiance est posée. Nous sortons du camion avec un manou (une étoffe, un paréo), 500 francs pacifiques (4€), 2 ignames et 2 chouchoutes, une fleur de lotus en tissu souvenir de notre périple en Asie et un crayon évoquant l’Australie pour « faire la coutume ».

     

     

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    La poule de Hienghène 

     

     

    Du 18 au 22 Mai la météo semble plus clémente sur la côte Est. Nous décidons alors de partir 450 km au nord à Hienghène. Le paysage y est vraiment différent et ressemble plus aux forêts tropicales de Basse-Terre en Guadeloupe : cascades, embouchures de rivières, cocoteraies et végétation luxuriante alternent.

     

                 Nous voulons aller voir les cascades de Tao au Nord de la ville, mais pour ça il nous faut traverser la rivière de la Ouaième. Cette dernière ne possède pas de pont, et n'en a jamais possédé. Le seul moyen d'atteindre l'autre rive est d'embarquer sur le bac, le dernier de Nouvelle-Calédonie. Malheureusement pour nous, ils sont en grève en ce moment, nous ne passerons donc pas le bac cette année !

     

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  • lac de Yaté

     

     

                    La semaine qui suit, nous nous rendons au sud de la Nouvelle-Calédonie. Le sud vous donne un avant-goût d’aventure : la route sinueuse qui y mène est un peu chaotique, on y chemine prudemment le long des pistes à flan de reliefs. Se succèdent ainsi les passages de gués, et les lacets qui serpentent entre le lac de Yaté, la rivière bleue et les collines rouges. A peine a-t-on quitté la ville que des paysages grandioses se dressent à perte de vue au milieu d’espaces le plus souvent vierge de population. Ce qui frappe en premier lieu, c’est cette terre rouge appelée latérite. Elle imprègne tout : routes, voitures, chaussures, etc… si vous voulez tester l’efficacité de votre lessive, c’est le moment ! Trois couleurs dominent, le vert de la végétation, le bleu du ciel et le rouge de la terre. C’est sûr, il faut aller là-bas user ses chaussures et découvrir une autre des plus belles faces du caillou.

     

     

     

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  • Recette pour 4 personnes (1 Wallis)

    Préparation et cuisson 1h30

    Le Poé à la banane (Nouvelle-Calédonie)

     

     

     

     

     

     

              Nous avons découvert cette recette à la fête de Boulouparis. Une gentille maman Walisienne (comprenez aussi haute que large et les bras comme les cuisses...) nous a expliqué la recette pour qu'on puisse le refaire chez nous. On en a acheté un pot pour deux et donc demandé deux cuillères pour le déguster... elle s'est moquée, selon elle (ou plutôt les références des gros mangeurs que sont les walisiens) il y en avait à peine pour un! On a eu du mal à le finir à deux, faut un bon appétit pour venir à bout de ce dessert fin bon!

     

     

     

     

     

     

     

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    La fête du cerf, de la crevette et du poussin (Boulouparis)

     

    Nous découvrons un autre aspect de l’identité culturelle calédonienne au travers de notre passage à la fête du cerf, de la crevette et du poussin qui se déroule à  Boulouparis. Une association bien surprenante d’animaux emblématiques de la ville qui doit son développement à l’élevage du cerf, l’aquaculture et l’aviculture. Cette foire est un gigantesque rassemblement d’artisans et producteurs locaux dont l’objectif est de faire vivre, découvrir et transmettre les traditions locales de la brousse calédonienne.

     

     

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     Recette pour 8 personnes:  Préparation 1h ;  Cuisson 2 à 3h

     

    Le Bougna Marmitte (Nouvelle-Calédonie)

     

                  Le bougna, spécialité traditionnelle kanak, cuit lentement sur un lit de pierres, entourés de cailloux chauffés à blanc, sous une couverture végétale recouverte de terre. Les légumes mariés à la viande ou aux fruits de mer et noyés de lait de coco, y passent plusieurs heures, emballés dans une feuille de bananier parfaitement étanche. Ce genre de four est utilisé par toutes les cultures océaniennes pour cuire cochon, poulet…

                  Nous n’avons pas eu l’occasion de cuisiner un bougna dans un four traditionnel kanak, mais bien conscient que c’est un peu compliqué de reproduire tout ça à la maison, voilà une recette que vous pourrez refaire plus facilement. Il y a autant de bougna que de maman pour le cuisiner, ce plat local est un peu le pot-au-feu de chez nous. Vous pouvez ajouter d’autres légumes à votre guise (céleri, carotte).

     

     

     

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